CE QUI S’ECHAPPE TOUCHE DU CIEL
2009
Ce spectacle nous parle de la force de l'écriture d’insuffler des images et de nous transformer.
Dans le spectacle une page blanche varie en dimensions en indiquant chaque fois l'espacé limité où deux danseuses se situent.
La parole qui naît, encore avant de naître, est matière labiale. Puis elle se lève et, dans le poumon de la page, devient signe. Comme une chanson, la poésie nous emporte. L'écrivain coud et emboîte les images ; la danse se fait sculpter par elles. Passage de corps, d'encre, de figures entre-vues.
Ce qui "ne touche pas le ciel" fait partie des usages non inventifs. La poésie nous
invite à une dimension autre du langage, de la matière, du regard.
Textes de Claude Beausoleil, Octavio Paz,Valère Novarina, Martin Rueff .
BALADES POETIQUES, regards sur l'espace 2009
Contextes de répresentations : jardins, cours, ruelles, places, couloirs, coins er recoins d'un village, ou toute forme d'espace.
La danse, la lecture et la musique d'un violoncelle s’offrent comme vecteurs d'un voyage dans les geographies et l'âme des lieux.
Le public, en partance, suivra les stationnements de cette déambulation.
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BALADES conçues:
BALADE DES PENTES , quartier Croix Rousse de Lyon
BALADE DU PARC, Parc de la Cerisaie Lyon
- Un quartier comme un poème en création -
vidéo poèmes
environnements poétiques avec objets et supports
déambulations
photo: INSTALLATION VIDEO SONORE proposée dans la chapelle en pierre du THEATRE DE LUNE (Lyon): un texte de Jean-Luc Parant est diffusé dans la fente du mur.. à proximité un corps à échelle humaine se penche vers cette fente, invitant le curieux à tendre l'oreille.
La compagnie DIRADA aime introduire ou poursuivre ses spectacles par une déambulation: un parcours poétique où le public peut
fouiller, prendre, redéposer, soulever, palper
comme dans une exposition tactile:
VIDEO POEMES: projection de VIDEOS, à la meme peau des murs, qui mettent en scène un corps qui danse sur des voix et des
images.
LIVRES-OBJETS à manipuler,
BRIBES POETIQUES sur différents supports (minéraux, végétaux, papier, en tissus)…
Le principe : faire vivre et faire traverser différement un environnement,
dans ses niches plus cachées, re-habiller poétiquement l'espace
UN TRAIN D’ONDES COURTES -
version de salle 2008
Un spectacle doux, murmurant et sensoriel qui désire montrer la capacité d’une matière de glisser sur une autre. Ondes qui s’agencent : corps, gestes, musique, poèmes, langues.
La danse fait corps avec les mots, prolonge ses mouvements et contribue à la caresse perceptive; l’espace se dilate : espace narine, interstice, enveloppe. Une proximité, et une intimité, s’installent : celle du public, celle de l’écoute. Détente poétique.
Un musicien à coté du public est partie de ces métamorphoses, de ces circulations d’ondes.
Textes de Jean-Luc Parant, Mariangela Gualtieri et Gherasim Luca